Epilepsie: Un hôpital confisque une huile riche en CBD d’un patient.

Une docteur en psychiatrie et tante d’une jeune fille épileptique, est en colère contre les médecins du célèbre George’s Hospital de Londres. Ces derniers ont confisqué à sa nièce, Kayleigh, au sein de l’hôpital, son huile CBD pourtant totalement légale sur le sol anglais.

Les crises épileptiques de cette dernière passent de 10 par jour à 200.

Danlanya Morris accuse l’équipe de l’hôpital d’avoir mis en danger la vie de sa nièce épileptique en lui retirant l’accès à son huile très riche en cannabidiol.

Elle explique que c’est une attaque aux droits de l’homme que d’agir de la sorte.

La gamme de produits CBD de qualité pharmaceutique par SMCLabs.

Elle détaille: « l’huile CBD a parfaitement marché pour elle. Le produit que l’hôpital m’a empêché de lui donner est légal, car classé comme complément alimentaire. »

Kayleigh à la faculté mentale d’un enfant d’environ 10 ans, dû a un manque d’oxygène lors d’une naissance difficile.

« Les médecins ont essayé sur Kayleigh différents traitements anti-épileptiques depuis plusieurs années. Aucun d’entre eux n’a permis de garder ses crises sous contrôle. »

« Ces traitements lui en causé de graves maux de tête, des vertiges et des nausées tous les jours. Elle a complètement perdu son appétit et donc  beaucoup de poids, sa qualité de vie en tant que patiente a été très largement impacté. »

Dantanya a élevé sa nièce dans son enfance depuis l’âge de sept ans.

Ensuite, on a prescrit de la lamotrigine à Kayleigh, un médicament qui a des effets secondaires connus tels que des vomissements et des problèmes de coagulation sanguine ayant potentiellement mis sa vie en danger.

Elle a été admise à l’hôpital de Kingston pendant huit jours après avoir vomi du sang, puis a eu besoin d’une transfusion sanguine. C’est à ce moment-là que j’ai dit à sa neurologue que j’avais peur que les médicaments ne la tue. Je lui ai dit que j’avais fait beaucoup de recherches et que je voulais essayer de la traiter uniquement avec du CBD. Mais elle était très opposée à cela et à la suppression de ses médicaments antiépileptiques.

« Une infirmière spécialisée en épilepsie m’a dit qu’elle ne pouvait pas approuver officiellement ce que je faisais, mais elle m’a dit comment la sevrer en toute sécurité de ses médicaments et c’est ce que j’ai fait.»

Mme Morris a également demandé à l’hôpital d’obtenir une licence de production de cannabis à des fins médicales, mais elle a été tout simplement « ignorée ». « Ils n’ont même pas répondu à ma lettre », a-t-elle déclaré.

Mme Morris a donc continué à utiliser l’huile CBD – et a réduit le nombre de crises de Kayleigh de plus de 50 à moins de 10 par jour.

La semaine dernière, Kayleigh a été admise à l’hôpital St George, à Tooting, pour évaluation car son neurologue s’était interrogé sur le fait qu’elle souffrait réellement d’épilepsie:

« C’était censé être une évaluation de 48 heures pour déterminer son état et dans les 10 minutes, ils voulaient lui administrer de nouveaux antispasmodiques, Kayleigh s’est énervée parce qu’elle est absolument terrifiée par les médicaments, en raison de ce qu’elle avait subit par le passé. »

Les médecins l’ont alors prévenu qu’il était illégal pour elle de ne pas prendre ses médicaments.

« Elle a des difficultés d’apprentissage qui ne sont pas sans ressemblance avec l’autisme – et elle est très enfantine. La façon dont ils l’ont traitée lui a causé beaucoup d’anxiété et de stress, ils ont voulu la calmer à l’aide d’un médicament similaire au Valium. Elle craint maintenant encore plus les hôpitaux. »

Malgré les protestations de Mme Morris, le personnel soignant a mis Kayleigh sous deux nouvelles molécules anti-épileptique.

Mme Morris a expliqué qu’elle avait obtenu la tutelle spéciale de Kayleigh et de sa sœur :

« Elle a maintenant plus de 200 crises épileptiques par jour, à cause du manque d’huile à base de CBD, depuis une semaine, mais aussi lié au stress et à l’anxiété causés par la façon donc elle a été manipulé physiquement: Ils voulaient lui injecter des médicaments à l’arrière de la tête pour soulager ses céphalées, quant je leur ai dit que le CBD fonctionnait et qu’elle n’en avait pas besoin, ils m’ont dit que je n’étais pas autorisée à le lui administrer. Ils nous surveillent 24h/24 et 7j/7 dans une salle verrouillée – ils ont fait de nous des prisonniers à l’hôpital. »

Un porte-parole de l’hôpital St George’s a déclaré:

« Nous ne pouvons pas discuter de tous les aspects sur les soins que nous prodiguons à un patient car ce sont des données confidentielles. Cependant, nous tenons à souligner que les décisions concernant les soins et les traitements fournis par nos cliniciens sont prises dans le meilleur intérêt des patients et des communautés dont nous avons la charge. »

Traduction assurée par SMC Laboratories® SA. Article écrit par Claudia TANNER pour www.inews.co.uk : « Aunt’s fury as doctors confiscate her epileptic niece’s legal CBD oil in hospital – causing her seizures to rise from 10 a day to 200« 

Copyright©

L’ensemble de ces données est la propriété de la société SWISS MEDICAL CANNABIS SA., de par les directives 91/250/CEE et 96/9/CE qui accordent respectivement la protection du droit d’auteur aux programmes d’ordinateur et aux bases de données. SWISS MEDICAL CANNABIS SA. se réserve le droit de saisir la juridiction compétente dans le cadre de toute copie ou reproduction de nos informations. Nous nous réservons également le droit d’exercer une saisine pour la demande de Dommages et Intérêt, de par l’article L. 331-1-3 du CPI qui dispose que “pour fixer les dommages et intérêts, la juridiction prend en considération les conséquences économiques négatives, dont le manque à gagner, subies par la partie lésée, les bénéfices réalisés par l’auteur de l’atteinte aux droits et le préjudice moral causé au titulaire de ces droits du fait de l’atteinte.

newsletter

Recevez nos dernières actualités, des informations et promotions sur nos produits.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *